Chronique d'une mort annoncée...ou pas !!!!!
Je paraphrase volontairement Gabriel Garcia Marquez, pour ce premier post, "Chronique d'une mort annoncée...", en effet tous les clignotants sont au vert pour envoyer mon club, ce bateau bleu et blanc qui vogue entre Nive et Adour, dans les affres d'une Pro D2 qui l'attend, ventre affamé.
Ce soir un match, pour rien, pour du beurre, peut-être aussi pour un peu de plaisir, un peu de rugby...enfin !!!!
Un match à l'ombre d'un jeudi, dans une balieue bordelaise aux couleurs roses d'un radis et d'une mairie qui retrouve des couleurs après des decennies de gris et d'oubli...
Une tortue qui se reveille, un ab qui hiverne depuis le printemps dernier et une septiéme place au goût de l'amertume et du trommpe l'oeil.
Doit-on jeter l'anathéme à l'ancien staff, surement trop laxiste et vouer aux gémonies et au diable la noubelle équipe menée par un "viux monsieur" qui a oublié que ses chroniques télévisuelles, même reservées aux spécialistes, ne sont pas celle qui font avancer un rugbyman pro des années 2012...
Comment doit-on interprêter les mots d'un ancien président, à la coupe d'un chanteur si proche de Vanina, reprochant à son ennemi personnel, autrefois président lui aussi et actuel maire de cette ville bouillonnnante, ou dans chaque bar et commerce, il y a un entraineur qui sommeille, son implication trop pressante et l'accusant d'avoit initié les décisions de virer l'ancien staff et d'avoir choisi le vieux monsieur...
Quel dirigeant d'entreprise peut accepter sans sourciller, que le manager principal de sa société, après un cuisant échec avoue son impuissance et se retrouve "sans solutions, que son message ne passe pas...".
Qui dit aussi sur le site du club, avant d'être censuré, surement par le brillant journaliste qui avait laissé passer les mêmes propos sur le centre de formation et les jeunes joueurs de l'aviron.
Comment peut on dénigrer, reconnaître son impuissance à gérer une situation de crise et rester en place ???
Soit on se sent pas capable d'assumer, on le reconnait et on s'en va, une démission au son d'un Poor lonesome cowboy, soit les dirigeants de cette entreprise en tire les conclusions nécessaires, reconnaissent une erreur de casting ou font un recadrage dans les régles, en bonne et due forme.
Peut-être que c'est ce qui s'est passé dans les salons pas si doré que ça du siége bleu et blanc.
Verra-t-on ce soir la mort de cette chronique et le réveil d'une bande de sales gosses, qui aura choisi de prendre son destin en main et de repartir vers une mort pas si annoncée, sans tambour, ni trompettes, mais avec tout un peuple qui n'attend que ça pour se remettre à chanter encore et encore...
Rendez-vous demain pour d'autres aventures, mais toujours en bleu et blanc...
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